Posée comme un geste de réconciliation, une tentative de guérison «après-coup», Aléa fait dialoguer les blessures touchant à notre intimité avec celles de la montagne qui s’abîme dans le réchauffement climatique. Nul doute que les fleurs et plantes sauvages recouvriront vite cette griffure dans la forêt, mais la silhouette et son regret resteront là. L’intense activité humaine n’est-elle pas avant tout un risque pour elle-même ?

En partenariat avec Scènes obliques, Espace culturel international de la montagne

Croquis d’intention